top of page

Un seul en scène qui percute, bouscule, émeut.

Pierrick Le Noane, mis en scène par Caroline le Noane et Justin Collin (Compagnie Le Huit), nous livre des textes puissants, sur fond de piano.

"Toutes les histoires ont un début,
Toutes les histoires ont une fin.
Je n’ai aucune autre ambition
Que de poursuivre la ronde des enfants du soleil.
Je ne cherche en aucune manière à laisser une trace quelconque,
La marque de mon passage…
Ce qui m’importe,
C’est de vivre à mon rythme
Ces quelques moments éphémères que l’on m’accorde."


 

« Telle la mer, qui, inlassable, recouvre et découvre l'estran, tantôt paisible, tantôt déchaînée, l'homme écorché navigue entre curiosité de la vieillesse à venir et souvenirs de la jeunesse passée. 

 

Tandis qu'il joue avec les notes noires et blanches de son clavier, comme un enfant avec les galets de la crique polis par les années, l'homme égrène les années qui défilent, sur fond de coups de cœur et de colère. 

 

Il tire sur la corde du temps, et comme un roc, sans cesse assailli par les flots, refuse l'érosion et la reddition. »

Pierrick Le Noane, mis en scène par Caroline le Noane et Justin Collin (Compagnie Le Huit), mis en lumière par Swann Griska, nous livre des textes puissants, sur fond de piano.

bottom of page