14 juin / 18h30
Le Commun des Mortels
Arnolphe veut se marier mais ne veut pas être cocu !
Considérant que l’esprit pour une femme est une source d’émancipation bien trop risquée, il élève en secret une jeune fille achetée à l’âge de quatre ans qu’il destine à l’épouser.
Maintenue à l’écart du monde extérieur, la jeune Agnès découvre toutefois que la vie vaut la peine d’être vécue en rencontrant le bel Horace, follement amoureux d’elle…
Comédie sur la jeunesse et l’aspiration à l’avenir, sur le droit des femmes à disposer d’elles-mêmes, l’École des Femmes est un souffle de vie dans un vieux monde en perdition…
Dans une mise en scène à la fois dynamique et originale, où jeu burlesque et images de cinéma se mélangent, Le Commun des Mortels renoue avec le théâtre itinérant des places de village et s'adresse à tous, néophytes et amoureux de Molière.
« Loin d’une guerre des sexes, L’École des Femmes est bien évidemment une pièce de l’émancipation féminine, et très certainement aussi un apprentissage de l’émancipation masculine. » Valéry Forestier
Tout public à partir de 10 ans
Mise en scène et scénographie: Valéry Forestier
Avec: Sabrina Amengual / Julie Autissier / Valéry Forestier
Administration : Thérèse Davienne
Diffusion : Le Strada et Cies
Production et soutiens : Le Commun des Mortels / Service culturel de Montfort-sur-Meu
avec le soutien du collège Louis Guilloux de Montfort-sur-Meu où s’est déroulée l’intégralité des répétitions et du Département d’Ille-et-Vilaine dans le cadre du projet de territoire Résidence Mission / Drac Bretagne
Le Commun des Mortels.
(Re)Trouver l’humain à travers notre théâtre d’aujourd’hui.
Implantée en 2021 à Montfort-sur-Meu (35), Le Commun des Mortels fait le choix d’un travail de proximité, d’un théâtre populaire, média vivant, comme un bien public et nécessaire, en conservant une triple exigence éthique, artistique et politique.
La troupe est porteuse d’un théâtre intime, révélateur de notre respiration commune, rassurante et superbe. Elle développe son travail à travers la création, la diffusion et la formation, et l’organise comme un service public tourné vers chacun.e.
Le Commun des Mortels monte ses spectacles en diptyques: une petite forme autonome décentralisable couplée avec un spectacle plus sédentaire.